Médi(ten)tations |
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Introduction Médi(ten)tations iMMa(r)térielles & Mari(n)times L'ultra-question Réactions 2e ultra-question Conséquences Conclusion à suivre... |
![]() À force de regarder les cartes et d'essayer de deviner ce qu'elles pouvaient bien cacher, je me suis égaré, et si je n'ai perdu ni la vie, ni la raison, un micro-ordinateur s'est pris la malle dans des circonstances troublantes sur la Montagne Ste Geneviève, ainsi qu'un jeu de Diplomacy, un passeport a suivi peu après avec un agenda assez historique et précieux, divers manuscrits, ... tout cela en peu de jours après un début de mois de janvier assez épique. Les indications suggérées à l'envers des cartes n'étaient pas stupides - oh non - et le cap à prendre était sans détour. Seulement, le voyage ne pouvait être entrepris seul et nécessitait de partager le 'projet' avec quelques personnes supposées de confiance. Que de désillusions alors, et un traitement plutôt corsé (c'Orsay
?) pour celui qui s'est invité impromptument dans le grand jeu, c'est-à-dire l'innocent qui essaie de vous faire une relation
distanciée. La France, comme suggéré ici, n'a peut être pas usurpé son nom, mais son gouvernail a certainement besoin, comme son double navigant, d'un bon coup de ravalement régénérateur : un coup de torchon, force 9 ou 10 au moins, et pas que cosmétique, permettrait de vérifier qui a encore sa place à la passerelle. La démarche Kärcher, ne me plaît guère. Ce mot résonne de consonnances trop germaniques, qui avec les apparences quasi-totalitaires de certains politiques veulent se donner, rime beaucoup trop avec Führer, sinon Hitler, et fait référence à une "lance" qui ne nettoie que les apparences. Et puis faire porter la responsabilité de nos difficultés aux plus défavorisés alors que les Nomenklaturas de toutes natures et tendances n'ont pas cessé de taper dans la caisse depuis des années en toute impunité, me donne le mal de mer, la nausée. Rien de tel qu'une traversée océanique sous un ciel de tempête. Un gilet de sauvetage avec harnais de sécurité en forme de demi-solde à mi-temps pour viatique et les plus compromis ne me semblerait pas inhumain. Et balancez-moi tout ce 'joli' monde à la baille. Nous pourrons vérifier le temps que met l'eau froide pour réveiller ces crapoteux ! La demi-solde n'a pas empêché Bonaparte (qui revenait d'une expédition corse assez catastrophique, il faut bien s'en souvenir) de rêver les batailles qu'il a gagné plus tard, et même celles qu'il a préféré perdre... Bien au contraire, semble-t-il même !
Revenons donc à nos cartes, sextant, boussoles, phares et balises, sans oublier les étoiles... De quoi s'agissait-il donc ?
« Objets inanimés, avez-vous donc
une âme, |
En regardant bien l'envers des cartes, je me suis aperçu que celui-ci n'était pas interchangeable. S'imprimait dessus en négatif ce qu'avait vécu l'endroit. Et quand l'endroit supposé trop abîmé, trop périmé, trop écorné, trop effacé était promis au rebut et à l'ombre de l'oubli, l'envers réclamait sa part de lumière. Mais comment le lui faire exprimer ? Oui, comment révéler ce message d'æncres sympathiques ? Mais de quelle cartes, de quels tarots s'agissait-il ? Non point des cartes divinatoires, mais celles du monde navigable, celles que les héros de l'Odyssée eussent aimer posséder. Mais pour qu'Ulysse et ses compagnons me parlent, il fallait une sorte de pendule Tournesolesque révélateur. En l'occurrence celui-ci s'appelait clé......., ou plutôt porte-clefs. Et ce porte-clefs qui ne date pas d'hier, largement plus de 30 ans d'âge, Ceci
Cette médaille d'argent était comme un rappel permanent des heures les plus éblouies de mon enfance. La mémoire du jeune garçon de pas tout à fait 6 ans que j'étais alors se souvient toujours avoir été présent à St Nazaire le 10 mai 1960, le jour de son lancement. Et cette mémoire ensemence toujours mes rêves, d'autant plus que depuis sa mise en service en 62, jusqu'à sa vente en 1974, j'ai couru dans le ventre de cette baleine jusqu'à m'essouffler et presque me perdre. Une fois par an au moins, profitant d'une sorte d'échouage forain du cétacé, nous allions au Havre visiter la marraine, les germaines cousines et cet oncle de retour d'Amérique. Généralement, nous passions l'après-midi à bord et je m'échappais seul, parcourant en tous sens les entrailles ouvertes et vides du Léviathan en sommeil. Bien sûr, et sans trop de peine, je réussissais à me perdre à chaque fois, sans trop d'angoisse pourtant, car la nuit tombante me ramenait toujours, mystérieusement et quasi-miraculeusement, tel un Jonas étonné, dans la cabine où les grandes personnes de la famille avaient passé le temps à discourir des mondes en devenir qu'habiteraient leurs enfants. Et puis, il n'y a pas si longtemps nous avons appris que le paquebot Norway, autrefois appelé France et promis à la casse il y a peu, a miraculeusement été épargné avec le porte-avions Clémenceau pour de sombres histoires diplomatiques bien amiantées. Assez providentielles, il faut bien le dire... Seulement, bien peu connaissent encore le chapitre qui a
été écrit entre le 10 janvier et les quelques jours qui suivent,
juste avant l'annonce (plus ou moins dans un désordre achaotique
quasi-ænarchique) :
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Une partie de la solution s'appelle donc Mais qu'elle était donc la question, Surtout quand cette question en cachait une seconde, Comme une partie de l'ultra-solution Pourtant il ne s'agissait que de transformer
cf. Comment réussir à échouer ? |
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